Le casting
Dans cet appartement, immeuble grand standing,
Elle était arrivée en diva du dancing
Petit corset en haut, apparent le piercing
De son joli nombril souligné par le string.
« Bonjour, c’est Vanessa, c’est Vanessa Darling ! »
Lança-t-elle illico à un sosie de Sting
Planté là devant elle en costume bling-bling.
« Serait-ce avec Police que je fais ce casting ? »
Il la pria d’entrer, de se déshabiller.
Elle avait l’habitude, ne se fit pas prier
Ôta le bas, le haut et partit s’allonger
Face à la caméra sur un grand canapé.
Devant le Sting en toc, les jambes écartées
D’une main nonchalante elle se caressait,
Mouvements délicieux sur son sexe épilé
Quand notre homme lui dit « je vais te présenter. »
Deux hommes étaient entrés, c’était des apollons
« Salut moi c’est José, Salut moi c’est Jason
C’est donc toi Vanessa ? » Dirent à l’unisson
Ces mâles surmembrés moulés dans leur caleçon.
« Nous sommes là Darling pour des jeux polissons,
Consentis entre adultes, y a pas de mais ni non ! »
Lancèrent en coeur les deux gigolos bas du front
Embrochant notre belle par la bouche et le fion.
Là, telle une volaille sur un grill électrique,
Empalée fermement devant l’œil numérique
Se tournait pour les yeux d’anonymes lubriques
Une tranche de vie des plus pornographiques !
Elle ferma les yeux, occultant les comiques
Et revit défiler son enfance tragique
Son beau-père violeur et sa mère alcoolique,
Les foyers, les éducs, la violence et la trique…
« Coupez ! C’est dans la boite » entendit-elle enfin
Les membres endoloris, le mauvais goût de sperme.
Le dégoût de la vie il faut y mettre un terme….
Elle sauta du balcon, quinze étages et puis FIN !!!
Dans cet appartement, immeuble grand standing,
Elle était arrivée en diva du dancing
Petit corset en haut, apparent le piercing
De son joli nombril souligné par le string.
« Bonjour, c’est Vanessa, c’est Vanessa Darling ! »
Lança-t-elle illico à un sosie de Sting
Planté là devant elle en costume bling-bling.
« Serait-ce avec Police que je fais ce casting ? »
Il la pria d’entrer, de se déshabiller.
Elle avait l’habitude, ne se fit pas prier
Ôta le bas, le haut et partit s’allonger
Face à la caméra sur un grand canapé.
Devant le Sting en toc, les jambes écartées
D’une main nonchalante elle se caressait,
Mouvements délicieux sur son sexe épilé
Quand notre homme lui dit « je vais te présenter. »
Deux hommes étaient entrés, c’était des apollons
« Salut moi c’est José, Salut moi c’est Jason
C’est donc toi Vanessa ? » Dirent à l’unisson
Ces mâles surmembrés moulés dans leur caleçon.
« Nous sommes là Darling pour des jeux polissons,
Consentis entre adultes, y a pas de mais ni non ! »
Lancèrent en coeur les deux gigolos bas du front
Embrochant notre belle par la bouche et le fion.
Là, telle une volaille sur un grill électrique,
Empalée fermement devant l’œil numérique
Se tournait pour les yeux d’anonymes lubriques
Une tranche de vie des plus pornographiques !
Elle ferma les yeux, occultant les comiques
Et revit défiler son enfance tragique
Son beau-père violeur et sa mère alcoolique,
Les foyers, les éducs, la violence et la trique…
« Coupez ! C’est dans la boite » entendit-elle enfin
Les membres endoloris, le mauvais goût de sperme.
Le dégoût de la vie il faut y mettre un terme….
Elle sauta du balcon, quinze étages et puis FIN !!!